B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main

Melbourne, Baltazar-Joe

crédits : Tumblr.

NOM DE FAMILLE ◆ Melbourne PRÉNOMS ◆ Baltazar-Joe ÂGE ◆ vingt-sept ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ◆ dix-huit avril mille neuf cent quatre-vingt quatre à Brooklyn ORIGINES ◆ américaine STATUT AMOUREUX ◆ célibataire MÉTIER ◆ directeur d'un label de musique GROUPE◆ wisteria land AVATAR ◆ Ryan Gosling

chips ou cacahouètes : cacahuètes chiens ou chat : chiens katy perry ou lady gaga : Katy Perry fraise ou citron : fraise damon ou stephan : Damon débauche ou abstinance : débauche noir ou blanc : noir winnie ou tigrou : tigrou iphone ou blackberry : blackberry facebook ou twitter : facebook mcdo ou kfc : mcdo alcool ou soda : alcool cigarettes ou cockaïne : cigarette prince ou bandit : bandit

sport ou littérature : littérature rock ou rap : rock kate ou pippa : kate londres ou paris : Paris woody ou buzz : Woody nutella ou confiture : nutella théâtre ou concert : concert comédie ou tragédie : comédie blair ou serena : serena sith ou jedi : jedi jour ou nuit : nuit bus ou taxi : taxi guerre ou paix : paix. amour ou amitié : amitié

PSEUDO/PRENOM ◆ Tiffany ÂGE ◆ seize ans PRESENCE ◆ 5/7 jours COMMENTAIRE SUR LE FORUM ◆ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ◆ PRD PETIT PLUS ◆

mes amis, mes amours, mes emmerdes

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Les bruits de la circulation incessante de Brooklyn assaillit les tympans de Baltazar lorsque celui-ci s'extirpa tant bien que mal du taxi. Dans cette partie de la ville, l'agitation était à son comble. Dès qu'il eut claqué la portière, le taxi démarra en trombe, le laissant sur ce trottoir, seul avec pour seule compagnie ce stress qui le tenaillait depuis qu'il avait quitté Fairview. Cela faisait exactement six ans qu'il n'avait plus remis les pieds dans sa ville natale et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce retour aux sources faisaient remonter de nombreux souvenirs qu'il avait pris le soin de garder rangés au plus profond de son esprit. Poussant un long soupir, il s'avança vers le perron de son foyer d'enfance. Il resta devant cette porte pendant quelques minutes, pesant le pour et le contre d'une potentielle rencontre avec ses parents. Méritait-il encore de revenir ici après ce qu'il leur avait fait subir? Pourrait-il supporter cette déception qui se lirait dans leurs yeux? Serrant les dents, il prit son courage à deux mains. Il n'avait pas fait le voyage pour rien et puis, il leur devait bien ça. Alors, il sonna.

La porte s'ouvrit sur une dame d'une cinquantaine d'années. Ses cheveux gris étaient retenus en un chignon négligé. Ses joues, légèrement rosées, laissaient supposer qu'elle vaquait à une certaine occupation avant la visite inattendue de son fils. Cette supposition fut confirmée par le tablier qu'elle portait à la taille. A la vue de Baltazar, ses yeux bleus perçants -héritage qu'elle avait laissé à son fils, s'écarquillèrent. Ce dernier lui sourit faiblement, gêné par la situation. Elle s'avança de quelques pas pour se retrouver à quelques centimètres du visage de son fils. La vielle femme plongea son regard dans celui de son fils et contre toute attente, elle le serra dans ses bras d'une force déroutante pour son âge. "Doux Jésus... Baltazar-Joe Melbourne." Elle desserra son étreinte et observa pendant quelques secondes ce fils dont elle n'espérait plus la venue depuis bien longtemps. De son torchon qu'elle tenait entre ses mains, elle frappa alors le dessus de la tête de son enfant. Elle tenta d'adopter une attitude sévère mais la surprise et le bonheur de revoir son fils l'adoucissait énormément. "Je suis heureuse de voir que tu n'as pas oublié que tu avais des parents Baltazar." Elle haussa un sourcil, le défiant du regard. "Comment pourrais-je oublié ma maman adorée?" lança le jeune homme d'un ton doucereux avant de poser ses lèvres sur le haut de son front. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres. "Ton numéro de charme ne fonctionne pas sur ta vielle mère Casanova!" Baltazar lâcha un rire aux dires de sa mère. Il ne fallait pas être devin pour comprendre que cette dernière faisait une piètre menteuse.

"Papa n'est pas là?" hasarda Baltazar. De ses deux parents, c'était certainement son paternel que le jeune homme redoutait le plus. Et ce n'était pas vraiment surprenant. Depuis son plus jeune âge, Baltazar voyait en son père cet être qu'il ne fallait surtout pas faire sortir de ses gonds et qui inspirait bien plus l'intimidation que de la joie de vivre. Monsieur Melbourne était quelqu'un que l'on pourrait qualifier de froid et réservé. Dans le genre ermite, on ne peut pas faire mieux. Les seuls souvenirs que Baltazar garde de lui, c'est une porte de bureau toujours fermée. Son père était écrivain et passait la majeure partie de son temps dans son antre comme se plaisait à l'appeler les autres membres de la famille Melbourne. Il n'en sortait que pour manger, se laver et dormir. Les relations père-fils ne se résumaient donc qu'à des allées et venues, sans plus ni moins. Mais cela n'a jamais vraiment perturbé l'enfant. Il avait sa mère qui tentait tant bien que mal de combler cette absence paternelle. "Dans son antre, pour ne pas changer. Il planche sur nouvelle histoire qui va "révolutionner le monde de la littérature" pour reprendre ses mots." La vielle femme accompagna ses paroles d'un long soupir d'exaspération. Baltazar pinça les lèvres tout en regardant sa mère. Lorsqu'il vivait encore ici, c'était sa mère qui subvenait au besoin de la famille, son père ne vivant que de sa plume. "Tu m'as manqué maman." Sa mère le regarda, en souriant tristement. "Peut-être que si tu avais pris la peine de venir nous dire bonjour ne serait-ce qu'une seule fois en six ans, je ne t'aurais pas manqué autant."

"Alors, parle-moi un peu de toi. Tu es toujours avec ton... groupe?" Elle buta sur ce dernier mot et le sortit sur un ton amer. A l'âge de dix-sept ans, Baltazar monta un groupe. Il avait un réel don pour la musique et l'avait découvert il y a bien longtemps. Il était doté de l'oreille absolue et jouait avec dextérité de nombreux instruments de musique. Avec l'âge, il se passionna pour le style rock et accompagné de ses amis de longue date, il se lança dans le monde impitoyable de la musique. Et il s'avéra que le petit groupe de quartier obtint de plus en plus de succès. Ce succès fut officiel lorsqu'ils remplirent une salle à guichet fermé. Les gens se retournaient à leur passage dans les rues, les filles leur balançaient leur petites culottes sur scènes et les attendaient après leur concert, ils furent conviés à de grandes soirées où se trouvaient des personnes hautement placée dans la société. Mais cette renommée devint très vite un inconvénient. Alors que certains prenaient la grosse tête, d'autres se laissèrent aller aux vices du monde du rock'nd roll et ce fut le cas pour Baltazar. La facilité de posséder et de manipuler la drogue dans le milieu était chose courante, Baltazar ne mit pas longtemps à le comprendre. très vite, ces doses quotidiennes se transformèrent en addiction. Il savait pertinemment que ça lui pourrissait la santé à petit feu et que tôt ou tard, il regretta cette folie insouciante mais il ne pouvait se résigner à arrêter. C'était comme si la drogue était maître de son corps et de ses envies. Le succès de son groupe était grandissant et touchèrent des régions avoisinante de Brooklyn. Ils parlèrent de se mettre sur la route. Lorsqu'il aborda le sujet avec ses parents, les cris furent de la partie. Ses parents, à qui l'état pitoyable de leur fils n'échappait, lui posèrent un ultimatum : rester et quitter son groupe ou partir avec son groupe et quitter la maison. A vingt-et-un ans, Baltazar-Joe Melbourne se retrouva sur les routes, insouciant et immature, sillonnant les bars et les petites salles de concert. "Non, on s'est séparé un an après que je sois parti. On ne savait plus se mettre d'accord. Je n'ai plus aucune nouvelle des autres. Maintenant, j'habite à Fairview et je suis directeur d'un label de musique. C'est posé et puis, je fais ce que j'aime. Ca me convient vraiment." Sa mère hocha la tête, affichant un sourire duquel Baltazar crut apercevoir une ombre de fierté. Un silence prit alors place dans le salon douillet. Sa mère posa son regard sur son fils. Elle avait beau ne rien dire, la question qui lui brûlait les lèvres était évidente. "Tu... Tu consomme encore de la... drogue?" Baltazar frotta ses mains sur son pantalon. Comment lui dire que oui, sur ce point, il n'avait aucunement changé à auparavant. Bien qu'il avait quitté le monde de la scène pour se retrouver derrière celle-ci, il n'avait néanmoins pas perdu ses bonnes habitudes. Enfin bonnes, tout est relatif. C'était bien l'une des seules choses qu'il ne pouvait se résoudre d'abandonner. Alors même si aujourd'hui, il n'est plus aussi accro qu'auparavant. Il n'en reste pas moins un fervent adepte. "Je... J'ai vingt-sept ans maman. Je sais ce que je fais, ne t'inquiètes pas." Elle le regarda longuement, avant de secouer la tête, ne cachant pas la déception qui la gagnait.

"Tu as quelqu'un dans ta vie maintenant?" Cette question arracha un sourire à l'intéressé. "Non maman, il n'y a personne." Juste des aventures, des coups d'un soir aurait été plus exacte. Dire qu'il n'y avait personne était une hyperbole. Car s'il y avait une vie qui était rythmée par des allées et venues de filles toutes aussi différentes les unes que les autres, c'était bien celle de cher Melbourne. Il enchaînait les conquêtes, sans se poser à aucun moment. Il existait deux types de filles dans la vie Baltazar : les filles de passage, celle qui ne prend même pas la peine de retenir le prénom et qu'il quitte dès les premières lueurs du matin. Et puis, il y a les filles courantes ou plus communément appelées, les bons coups, celles qu'il revoit plusieurs fois et qu'il n'hésite pas à appeler lorsqu'il se sent seul chez lui. Oui, c'était à ça que se résumaient les relations qu'il entretient avec la gente féminines : des catégories. Dire qu'il les avaient toutes classées serait néanmoins un énorme mensonge. Il y en avait une qui se différenciait des autres de part sa personnalité et des sentiments qu'elle éveillait en lui. Elle, c'était plus que du sexe. C'était des discussions au petit matin, des sorties au cinéma, des fous rire à en avoir mal au ventre. On pourrait presque les croire en couple, s'il n'y avait pas ce foutu mari. Mari qui d'après ce que Baltazar pensait n'était pas au courant de l'idylle que sa femme entretenait avec Baltazar. Cette relation était certainement la plus dangereuse que le jeune homme n'ait jamais vécu. Et il le savait pertinemment, s'ils continuaient, Baltazar y laisserait bien plus qu'il ne le pense. "Prochaine fois que tu viens nous voir, tâche de venir accompagné d'une belle jeune femme." ajouta sa mère, lui faisant un clin d'oeil complice.

C'EST MON MIEN D'ABORD B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 822774045

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Bienvenue

Je suis tellement heureuse là B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 2758141441

Merci encore, et si jamais t'as une question, bah tu ~~la garde pour toi~~ m'envoie un mp B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 152426858

EDIT: autant pour moi j'ai pas mis de "h" à Baltazar, si tu veux en mettre un, pas de soucis

GOSLING

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j'exige un lien (a) !!
BIENVENUE I love you

merci et bonne continuation =D

HAAAAN RYAN ! Bienvenue B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 4186136012

B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 3590112005

Miaaam!
Bienvenue et bon courage pour ta fiche! Et puis réserve moi un lien :p

OH IL EST LAAAAAAAAAAA B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 3138325144

Francesca m'a promis d'être gentille avec toi ... si elle ne l'est pas, hésite pas à me le dire hein, je m'occuperai d'elle B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 4153354820

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en tous cas, c'est un merveilleux choix de scénario .. et puis GOSLING quoi B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 1050834305

he's just perfect. et puis je le jouais souvent y'a deux-trois ans ; c'est juste une source d'inspiration inépuisable ce mec B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 2124793060

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gardemoiunlien, s'il te plait B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 2393617157

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Bienvenue parmi nous.

RYAN

Bienvenue ;)

GOSLING

bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Francesca MA FRANCESCAAAA
Si j'ai une question, j'hésiterai pas! ;)
Je vais commencer mon histoire là! J'espère avoir fini d'ici ce soir

(Pour le "h" je l'ai retiré, je sais pas pourquoi je l'avais mis )

Sutton Ahahah, je compte sur toi alors si elle fait la méchante fifille avec moi

J'ai jamais joué avec Ryan Gosling, mais je sens déjà que ça va être d'la balle tout ça!

A toutes les bombes sexuelles Merci à toutes pour votre accueil super chaleureux mes demoiselles
Je vous garde avec plaisir des places au chaud ~~dans mon lit~~ dans mes liens

RYAN

bienvenue parmi nous B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 3494806911

si t'as des question n'hésite pas non plus B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 744883311

Pour moi ta fiche est juste parfaitement bien B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 822774045

B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 3458505197

GOSH RYAN !
Et puis le pseudo B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 3138325144

Si Nate était gay, il aurait foncé droit sur Baltazar B-J Ϟ Il paraît que le bonheur est à portée de main 1798237003

Désolée du retard ta fiche est parfaite et comme FI est okay te voilà validé
bienvenuuuuue parmi nous et ryan très bon choix

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» Washi → « Le bonheur n'existe pas. L'amour est impossible. Rien n'est grave. » B.
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» SOFIA ▬ Entrer dans une église avec un poisson et une canne à la main et dire au curé : J'ai pêché.

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