 Max-Pacey Forbes
COURRIERS : 149
EMMÉNAGEMENT : 05/01/2012
PSEUDONYME : Ϟ dixipearl
CÉLÉBRITÉ : annalynne mccord
CRÉDITS : (c) ava by miss v.
 |  Sujet: MAX-PACEY Ϟ titredelamort.com Ven 6 Jan - 19:15 | |
| FORBES, max-pacey
crédits : obligatoire.
NOM DE FAMILLE ◆ Forbes, on dit merci papa pour ce nom. PRÉNOMS ◆ max-pacey, alors je n'ai jamais vraiment su pourquoi. A part Max car mes parents espéraient avoir un petit mec et manque de chance j'étais une fille. Quand à Pacey ils ont du trop regarder Dawson et l'ont rajouté après je ne vois que ça. ÂGE ◆ vingt deux ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ◆ 20 août 1989 à Fairview. Naître, grandir et vivre toujours dans la même ville n'est pas magnifique?. ORIGINES ◆ américaine et anglaise. STATUT AMOUREUX ◆ aux dernières nouvelles, je suis fiancée. MÉTIER ◆ écrire ici. GROUPE◆ écrire ici. AVATAR ◆ annalynne AWESOME mccord.
chips ou cacahouètes : chips, je suis pas fan du gout des cacahuètes chiens ou chat : chien, j'en veux un avec une tête toute mignonne. katy perry ou lady gaga : katy, je préfère sa musique fraise ou citron : fraise parce que c'est mon pêché mignon. damon ou stephan : ça dépend du moment on va dire. débauche ou abstinance : abstinance, vous ne voyez pas l'auréole?. noir ou blanc : noir parce que ... c'est comme ça. winnie ou tigrou : bourriquet parce qu'il me fait craquer. iphone ou blackberry : et oui, iphone j'ai craqué et je suis accro facebook ou twitter : facebook parce que j'aime voir les racontages de vies. mcdo ou kfc : mcdo j'aime, j'adhère j'adopte. alcool ou soda : alcool pour oublier le temps d'une soirée. cigarettes ou cockaïne : aucun des deux, je préfère mourir plus naturellement. prince ou bandit : un mixte des deux serait parfait | | sport ou littérature : littérature, le sport très peu pour moi rock ou rap : rock ça a bien plus de sens. kate ou pippa : kate, elle est bien plus belle. et puis pippa à part nous montrer son derrière elle a fait quoi? londres ou paris : londres, j'aime cette ville woody ou buzz : buzz parce que j'adore son accroche. nutella ou confiture : nutella, mauvais pour la ligne et bon pour le moral. théâtre ou concert : concert, fan de musique? Tout à fait. comédie ou tragédie : comédie, vaut mieux rire que pleuré non? blair ou serena : blair. parce qu'on rêve tous d'avoir son histoire d'amour avec son chuck, en moins compliqué sith ou jedi : en français ça donne quoi? jour ou nuit : nuit l'hiver et jour l'été pour bronzer bus ou taxi : taxi, l'odeur est plus agréable et il y a plus de place. guerre ou paix : paix. amour ou amitié : dur question. les deux |
PSEUDO/PRENOM ◆ blandine/dixipearl. ÂGE ◆ 18 ans. PRESENCE ◆ everyday. COMMENTAIRE SUR LE FORUM ◆ je vois pas ce que je fais là. NON MAIS JE KIFF OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ◆ j'ai soudoyé Pauline. PETIT PLUS ◆ je vous aime les filles  .
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Max-Pacey Forbes
COURRIERS : 149
EMMÉNAGEMENT : 05/01/2012
PSEUDONYME : Ϟ dixipearl
CÉLÉBRITÉ : annalynne mccord
CRÉDITS : (c) ava by miss v.
| | Sujet: Re: MAX-PACEY Ϟ titredelamort.com Ven 6 Jan - 19:24 | |
| mes amis, mes amours, mes emmerdes
crédits : i don't know.tumblr .
 ❝ a long time ago. ❞Lorsque l’on est enfant, tout le monde passe par la période quand je serais grande je serais maitresse puis on grandit un petit peu et bizarrement l’école on aime pu trop ça donc on change de métier quand je serais grande je serais chanteuse ou danseuse à force de voir des clips à la télévision on se dit que nous aussi on veut faire pareil mais comme pour le premier ça nous passe vite. Puis on arrive à l’adolescence, vers quatorze ans et là on doit vraiment ce demander ce qu’on veut faire car mine de rien ça approche et là les réponses sont variées plus tard je serais chimiste, top model, professeur, journaliste, avocat, médecin, serveuse, vendeuse … mais là encore personne n’est vraiment sûr de rien. J’aurais pu être comme eux, mais ça n’est pas le cas car depuis toujours je sais ce que je veux faire, je veux ouvrir une pâtisserie où je vendrais ce que je fais car cuisiner j’adore ça. Depuis toute petite, j’aime regarder ma mère faire des gâteaux, faire de bons repas et quand je pouvais je l’aidais. Vous me direz que beaucoup de petites filles font ça avec leur mère mais en y réfléchissant bien je n’ai presque jamais vu des quand je serais grande je serais pâtissière, boulangère, cuisinière .. donc j’aime me dire que c’était quelque chose que j’avais en plus avec ma mère. Sa passion est donc devenue la mienne, ma mère a toujours été là pour moi et j’ai toujours été proche d’elle, comme de mon père. Nous formions une petite famille unie, du moins en apparence car j’ai un frère avec lequel je n’avais plus de contact, à l’époque je ne savais pas la raison car mes parents me pensaient trop jeune pour savoir. Mais je me souviens que j’avais été blessé par le départ de Calvin, c’est d’ailleurs après ça que j’ai commencé à avoir des soucis de poids en effet en un temps record j’ai pris une bonne dizaine de kilos et j’ai donc été la risée de l’école durant mon enfance. C’était dur de supporter les moqueries et les insultes mais je faisais comme-ci cela ne m’atteindrait pas mais c’était faux et j’avais de plus en plus de mal à me supporter. Surtout au moment de rentrer à l’adolescence. Mais depuis mes dix ans, j’avais un ami sur qui je pouvais compter, qui venait à ma rescousse quand on me cherchait, qui me prêtait son épaule lorsque j’étais épuisée de faire semblant. Cet ami c’est Iwan, il a toujours été au-dessus du physique préférant ce que j’avais dans la tête comme il disait sans cesse à l’époque. Il ne m’en fallut pas plus pour tomber amoureuse de lui, mais à 12 ans on ne peut pas vraiment dire qu’on sache ce qu’est l’amour. Durant l’année de mes quatorze ans, les moqueries sur mon poids sont tellement blessantes que je décide de faire quelque chose. Alors que la fin de l’année approche je décide de m’inscrire dans un camp pour perdre ce poids que je ne supporte plus, ma mère au début réticente finit par me soutenir après avoir eu une conversation avec elle. Cependant à part elle, personne ne sera au courant car je ne veux pas que cela se sache ce serait donner satisfaction à tous ceux qui ont jusque-là, fait de ma vie un enfer. Le stage dur quatre mois, de mai à août et cela me sera bénéfique, je finis par m’affiner, beaucoup, autant dire que je suis métamorphosé et dès septembre, j’étais sûr d’obtenir ma revanche. ❝ you and i, close together. ❞Septembre, le mois tellement attendu. Cela faisait deux semaines que j’étais rentrée et je n’avais croisé personne, préférant faire une sorte de surprise quand ils verront que leur vilain petit canard c’est transformé en un beau cygne blanc, plus beau qu’aucun de ces crapauds ne sera jamais. Oui je me ventais, mais ils m’avaient tellement fait de mal qu’ils ne méritaient que ça, chacun d’eux méritaient d’être rabaissé mais je ne le ferais pas car être méchante comme ça, ce n’est pas moi je leur sourirais hypocritement en laissant venir leur compliment qu’ils diront pour faire oublier les fois où c’était des insultes qui sortaient de leur bouche. Je me souviens du jour de la rentrée comme si c’était hier, je m’étais levée en avance pour me préparer et être aussi belle que possible, mes cheveux bouclés dans tous les sens était devenue une sorte de marque de fabrique et j’aimais ça car au lycée peu de personnes avaient cette coiffure. Des vêtements au top qui font ressortir ma nouvelle plastique ? C’était fait, avant de revenir en ville, j’avais pu faire les grands magasins et donc me refaire entièrement ma garde-robe, autant dire que y’avait du boulot. En arrivant au lycée, chaque personne que je connaissais se retournait en ayant la bouche grande ouverte, effet choc, c’était bon. Iwan avait fait la même tête de surprise lorsqu’il me vit arriver et ça ce fut la cerise sur le gâteau car dans ma tête, cela voulait dire que j’allais enfin pouvoir avoir une chance avec lui mais ce n’était pas gagné.
J’étais au parc à me poser des questions, je m’étais incrustée là où les enfants ont l’habitude de jouer mais aujourd’hui il n’y avait personne à part moi me balançant comme si j’avais encore cinq ans. Beaucoup de chose c’était passé en deux ans, des bonnes comme des moins bonnes. Dans les moins bonnes, il y a la mort de maman à cause d’un cancer c’était il y a à peine un an et aujourd’hui encore il n’y a pas une seule journée où je ne pense pas à elle. Ça a été vraiment dur de la voir dépérir de jour en jour, et encore plus dur quand on a dû l’hospitaliser et où on nous a dit que ces jours étaient désormais comptés. Je me souviens avoir passé chaque matin à ces côtés avant d’aller en cours, avoir été mangé avec elle chaque midi et rester tous les soirs pour qu’elle s’endorme à côté de moi, cela aurait pu être encore plus dur si je n’avais pas eu Iwan et si Calvin n’était pas revenu. C’est dans le moment le plus dur que j’ai finalement retrouvé mon frère mais ce qui me réconforte c’est que quand maman est partie elle était heureuse et entouré par sa famille c’est peut-être ce qui apaise un peu le chagrin. Pour ce qui est des bonnes choses il y a ma relation avec Iwan qui a évolué dans une sorte de jeu du chat et de la souris, c’était mon ami et je ne voulais pas aller plus loin par peur et quand j’ai été prête il avait trouvé une fille qui avait l’air de le rendre un peu près heureux. Ça a duré un an, un an où j’ai dû supporter un couple qui me donnait la nausée quand ils s’appelaient par leur petit nom d’amoureux, quand ils s’embrassaient, dès qu’ils étaient ensemble j’avais envie de partir en courant de peur de dire ou faire quelque chose qui ne serait pas approprié. Mais j’ai su rester à ma place en étant l’amie d’Iwan et une connaissance pour cette fille que j’aurais aimé crucifier sur place et qui avait été de ceux me menant la vie dur. Mais quand j’ai commencé à fréquenter quelqu’un à mon tour pour ne plus à souffrir de ne pas être avec Iwan, il a commencé à changer, à devenir blessant et sur la défensive, me parlant comme si j’étais une enfant de six ans c’est d’ailleurs sur une énième dispute que je l’ai quitté voilà quatre jours depuis c’est le silence radio. Généralement après une dispute ou lorsque j’apprends une mauvaise nouvelle j’aime venir ici car je peux faire le point sans être déranger. Sauf que cette fois-là, qu’elle ne fut pas ma surprise en voyant à l’entrée de l’endroit des balançoires à me toiser comme il le fait quand il veut s’excuser. Il s’approche donc de moi en esquissant son petit sourire des beaux jours et vint s’asseoir sur la balançoire à côté de la mienne, instinctivement je me rapproche pour poser ma tête sur son épaule en poussant un petit soupir. Nous sommes restés comme ça sans bouger, sans parler pendant plus de deux minutes, on se demandait lequel des deux allaient parlés en premier. Et ce fût moi, la pipelette de première Qu’est-ce qu’il nous arrive Iwan ? Avant on ne se disputait jamais et là en six mois, on n’a pas arrêté. Je crois qu’on le sait tous les deux sans le dire Je le savais au fond de moi mais comme j’en avais l’habitude je me voilais la face car je pensais sans doute que c’était mieux pour moi. Sûrement. Mais on doit changer les choses sinon ça n’ira jamais Je faisais comme lui, je tournais autour du pot comme il le faisait car on était bon dans ce domaine Ne me force pas à dire à voix haute ce que tu sais très bien. Il y a une raison pour laquelle j’agis comme un idiot depuis … ces quelques mois particulièrement, ça paraît logique. C’est une évidence, tu le sais et je sais que tu le sais. Exprimé ses sentiments, il ne savait pas et ça se voyait, je ne pouvais m’empêcher de le dévisager en me demandant si un jour il arriverait à dire ce qu’il pense sans avoir peur de paraître faible car c’est pour ça qu’il est comme ça. Je le sais et tu sais également ce que je ressens car comme tu le dis, c’est évident. Mais comme tu as peur de dire les choses je vais le faire. Je tiens à Iwan, plus que comme un simple ami mais maintenant tu es avec .. l’autre et le choix n’appartiens qu’à toi pour faire évoluer les choses, tu ne peux pas toujours attendre que les autres le fasse pour toi.Simple, clair et précis, il se devait d’avoir compris. La réponse fut elle aussi simple, claire et précise. Un baiser, notre premier baiser là sur des balançoires.
 ❝ you saved my kitchen. Do you want a cookie ? ❞ohlala non. Stop éteins-toi ! La poise, ma journée à mal commence car j’ai marché dans une flaque d’eau donc mon pantalon a été mouillé pendant que je me baladais autant dire que la balade fût vite écourter, ensuite ce midi je n’avais plus de batterie à mon téléphone pour appeler Iwan qui était partie une semaine chez sa grand-mère malade, donc j’allais devoir attendre le soir pour avoir de ces nouvelles et là cet après-midi cette tarte qui flambe, vraiment, rien ne va comme je le voulais. D’un coup alors que je me débattais pour éteindre le feu qui commençait à s’étendre, l’alarme d’incendie se déclencha ce qui avait eu pour effet de me faire faire une crise cardiaque, non sans rire, j’ai mis une bonne minute pour m’en remettre. En parlant d’alarme, elle a été longue trèèèès longue et surtout niveau sonore elle était à fond. C’est donc en tentant de me boucher les oreilles avec une main que je continuais à essayer d’éteindre ma tarte qui prenait feu, promis les tantes flambées se sera dans la cheminée la prochaine fois parce que là je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais ça se transforme en feu de camp assez rapidement. Feu de camps dans une cuisine, originale Max, la prochaine fois, reste couchée ! Assez vite les pompiers arrivèrent et en un rien de temps, ils maitrisèrent le feu. Vous êtes des héros, tous. Des muffins pour vous remercier ? J’avais dit ça avec un grand sourire alors que j’étais gênée d’avoir mis le feu comme une débutante alors que je n’en étais pas à mon coup d’essai. Aucun ne bougeait, ils se regardaient comme pour savoir ce qu’il devait faire. Ils ne sont pas empoisonnés, rien n’a brulé quand je les aie fais et donc vous pouvez en prendre. Ils devaient me prendre pour une folle, après tout peut être que je l’étais à ce moment-là. Contre toute attente, l’un des pompier fit le premier pas et pris l’un des muffins puis ces collègues firent pareil et ils me vidèrent toutes ma panières de muffins. Ce premier pompier ? Nolhàan. A ce moment précis, je ne savais pas encore à quel point il allait compter pour moi, mais une chose est sûr c’est que je n’étais pas prête de l’oublier car il était mignon, qu’il avait eu confiance en moi pour prendre mes muffins et surtout, il avait un regard… impossible à décrire mais il ne s’agit pas d’un garçon que l’on peut facilement oublier. Ce garçon, Nolhàan je le revis quelques jours plus tard à ma pâtisserie, il semblait aussi surpris que moi. tiens mon sauveur. Je peux faire quelque chose pour vous ? et c’était partie. Il prit un café et comme je n’avais pas beaucoup de client, je pu aisément aller parler avec lui. Au départ il n’était pas très coopératif, il était un peu renfermé le problème avec moi, c’est qu’on ne le reste pas très longtemps. Et bien merci d’être passé et surtout il ne faut pas hésiter à repasser. Et.. oh. Tenez voilà mon numéro si jamais un jour vous voulez parler ou simplement mettre un peu de nouveauté dans votre vie, un petit coup de fil ça coûte rien. Mais attention ne vous méprenez pas, je vous drague pas. et j’étais repartie en cuisine, là où je me sentais si bien. Oui je parlais beaucoup, beaucoup trop à vrai dire mais il avait dû apprécier puisque contre toute attente je reçus son coup de fil et nous avons passé deux heures au téléphone. Puis on s’est vu et revu et une véritable amitié est né, je l’invitais à la maison et il a presque sympathisé avec Iwan ce qui était une avancée spectaculaire pour mon petit homme des cavernes comme j’aimais l’appeler. J’ai eu le droit à certaines crises de jalousie de la part d’Iwan parce que je passe beaucoup de temps avec Nolhàan mais que voulez-vous, je me sens bien avec lui, tout était simple et puis on s’entend à merveille si je n’étais pas avec Iwan pas de doute possible, il serait l’homme de ma vie ; mais Iwan est là et hors de question d’y penser, ce serait faire beaucoup trop d’histoire.
 ❝ now, everything change. ❞ Oui Si’, je viendrais te voir demain pour… je … je dois te laisser. Mon téléphone glissait doucement le long de mes joues. Je venais de rentrer chez moi et je venais d’avoir une surprise, mais pas du genre agréable. Dans mon salon se trouvait Iwan avec son ex petite amie qui l’embrassait fougueusement à moitié vautré sur lui et malheureusement pour moi il ne m’avait pas entendu arriver. Ne vous dérangez surtout pas pour moi ! Et j’étais partie dans notre chambre pour prendre des affaires car je ne me voyais vraiment pas rester ici toute la nuit. Je ne savais pas où j’allais aller mais n’importe où à part ici ferait l’affaire. Seulement Iwan n’était pas décidé à me laisser partir si facilement attends ce n’est pas du tout ce que tu crois Ah non ? tu n’avais pas ta langue au fond de sa gorge ? Tu me prends pour qui. Tu crois que je vais te croire si tu me dis que tu lui faisais du bouche à bouche. Je t’avais prévenue qu’elle n’avait pas tourné la page et que c’était dangereux pour nous que tu restes en contact avec elle, tu n’as pas voulu me croire et tu as gagné ! Surtout ne m’appelle pas, je n’ai pas envie de te parler. Sans rien contrôler, des larmes c’étaient misent à couler le long de mes joues et si je restais plus longtemps dans cette chambre je risquais de dire des choses que je préférais taire pour le moment car sous le coup de l’énervement je ne sais pas comment cela pourrait sortir. En le bousculant légèrement je sortis de la pièce et ce n’est pas sans un félicitation, tu as ce que tu voulais ! pour cette fille qui restait plantée là comme un poteau, que je quittais la maison. Une fois dans ma voiture, je m’étais laissé aller à pleurer comme une petite fille mais c’était plus fort que moi, j’étais blessée et c’était le meilleur moyen de faire évacuer tous ce que je ressentais. Puis au bout d’une dizaine de minutes, mon téléphone se mit à sonner, au début peur que ce soit Iwan, j’ai vite vu qu’il s’agissait de Nolhàan mais je ne voulais pas répondre car il allait vite sentir que ça n’allait pas et je ne voulais en aucun cas l’embêter. Mais au second appel de sa part, je m’étais demander si ce n’était pas lui qui avait un problème j’avais donc décidé de décrocher en essayant de rester silencieuse et « joyeuse ». allo ? C’est moi. Ca va ? Oui oui et toi ? t’es sure ? Car d’habitude tu réponds toujours du premier coup quand on t’appelle et tu sembles toujours surexcitée et pas là. Oui oui ça va ne t’inquiète pas, je suis juste un peu fatigué et je crois que je commence à avoir un rhum et .. tu voulais quelque chose ? Je sens que tu me mens, passe chez moi. TOUT DE SUITE ! Et il avait raccroché. Le fait qu’il sache quand je mentais avait plutôt tendance à me faire peur car cela voulait dire qu’il me connaissait vraiment très bien et surtout si je n’arrivais pas à lui cacher que ça ne va pas par téléphone, en face ça risque d’être encore pire. En dix minutes à peine, je me retrouvais en face de chez lui, en me regardant dans mon rétroviseur je me fis peur avec mes yeux rougit. En deux secondes, je saisis mon sac pour en sortir mon anti cerne qui fait des miracles et un baume à lèvre avec effet bonne mine. Une fois prête avec une mine un peu près normal, je sortis avec mon sac et me dirigea vers chez lui et sonna après avoir hésité, il vint m’ouvrir la porte .. torse nu. Si je te dérange je peux repasser demain tu sais. Dit pas de bêtise tu ne me déranges pas je viens juste de sortir de la douche et je n’ai pas encore eu le temps de me rhabiller. Aller entre, fait comme chez toi. J’étais donc entré, non sans le regarder en détail discrètement pour pas qu’il ne le remarque pour aller m’assoir sur le canapé. Il vint s’assoir en face de moi et me dévisagea sérieusement ce qui avouons-le est assez gênant. Pourquoi tu me regardes comme ça ? J’avais raison. Comment ça ? Ola, il me faisait de plus en plus peur là. Ca va pas. Qu’est-ce qui te fait dire ça ? Ca fait cinq minutes que ta voiture est devant donc tu as hésité à rentrer, tu t’es remaquillé et tu as l’air super nerveuse. Ha , il avait donc remarqué, il était fort. Après un soupir, je mis ma tête entre mes mains avant de faire remonter mes mains dans mes cheveux. La scène de la maison me revint en mémoire et quelques larmes remontèrent sans que je ne puisse rien contrôler. Cela eut pour effet de le faire devenir anxieux à son tour puisqu’il changea de place pour se mettre à côté de moi. Tu sais que tu aurais fait un malheur en tant que psy. Ma réponse ne sembla pas lui suffire, il attendait la suite. En rentrant à la maison ce soir, j’ai trouvé Iwan avec son ex et dieu sait ce qu’ils ont fait à part s’embrasser. Oui dans ma tête je me demandais s’il n’y avait eu que ce baiser ou s’il y avait eu plus, cette question tournait sans arrêt dans ma tête depuis tout à l’heure et ça m’épuisait. J’essuyais d’un revers de la main une larme s’échappant de mes yeux et mon regard se reporta sur Nolhàan qui semblait bouillonné de l’intérieur. Du coup là je vais sûrement aller dormir dans l’arrière-boutique de la pâtisserie, je me sentais pas de rester à la maison après ça. Je vais le démolir. Et non tu vas rester là, je ne vais pas te laisser dormir dans ta boutique quand j’ai de la place chez moi Quoi ? Non tu ne vas rien faire du tout. Je ne l’avais jamais connu cet élan de violence mais ça ne m’étonnait guère il était protecteur et il supportait mal qu’on blesse quelqu’un qui lui était proche. Si je le croise je ne peux pas te promettre de rester calme. Je m’en voulais de lui en avoir parlé car cela pourrait tourner à la catastrophe si jamais les deux venaient à se battre à cause de moi. Arrête tu n’as pas de raison de prendre tout ça à cœur. Justement si. Je ne le comprenais pas, comme d’habitude je me voilais la face pour éviter de compliquer les choses. Qu’est-ce que tu veux dire par là. Ma voix était un peu tremblante car j’appréhendais la réponse, mon cœur était serrer et mon ventre … n’en parlons pas. ce n’est pas le bon moment pour en parler. Je vais aller préparer la chambre pour que tu ailles te reposer tu en as besoin. Je prendrais le sofa Il se leva et commença à partir. S’il pensait que j’allais le laisser filer comme ça il se mettait le doigt dans l’œil. Je me levais donc à mon tour puis le rattrapais par le bras pour le faire se retourner. Attends, tu peux pas faire ça. Qu’est-ce que tu voulais dire par là ? Il ferma les yeux pour pousser un soupir, je redoutais le pire et je ne contrôlais plus rien. Tu me plais ok. Je pense tenir à toi plus que comme une simple amie et le fait qu’on te fasse de la peine comme ça, ça me rend fou. Ce crétin ne mérite pas que tu te mettes dans tous ces états pour lui. Je buvais ses paroles sans rien dire, j’étais sous le choc et je n’arrivais pu à bouger. Je… Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il s’empara de mes lèvres dans un baiser passionné auquel bien entendu je répondis. Je sentais ces bras autour de ma taille et je me sentais bien, je mis mes mains dans son dos. Je perdais mes esprits et c’est avec le plus de volonté possible que mes mains glissèrent le long de son torse pour le repousser. Je suis désolée, je peux pas .. J’avais alors attrapé mon sac et j’avais fuis. Qu’est-ce qu’il m’avait pris ? J’avais perdue tous mes moyens dès que ses lèvres avaient frôlées les miennes et ce n’était pas bon car j’étais avec Iwan… Enfin pour le moment, bien que cela soit tendu entre nous. Depuis trois jours je vis dans ma boutique et je n’ai pour le moment ni vu Iwan, ni Nolhàan et je ne sais pas du tout comment cela va se passer et surtout pas ce que je vais faire.
Dernière édition par Max-Pacey Forbes le Lun 9 Jan - 16:53, édité 10 fois |
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en tout cas merci amour 
